dimanche 29 juillet 2007

The case against God

29.06.07, Houston Chronicle (US). There is no question that Christopher Hitchens is very smart, very well-read, very outspoken and, more often than necessary, very obnoxious. All this is fine if you enjoy hearing him defend the Iraq war, but perhaps less so when he mounts a caustic attack on organized religion, as he does in his best-selling new book. A formidable debater, Hitchens recently appeared on Fox News ' Hannity and Colmes, managing the difficult trick of offending the liberal Colmes and reducing the conservative Hannity to stuttering incoherence. Hitchens seldom fails to deliver an impressive performance, and he does so in God Is Not Great, where the arguments are brilliant and the language marvelously crafted. If one is disposed to his point of view, it 's a terrific read. Certainly it 's the best of the recent assaults on organized religion from Richard Dawkins, Sam Harris and Daniel C. Dennett.

El ateismo se vuelve militante, al menos en un libro

29.06.07, Portafolio (CO). 'God is Not Great: How Religion Poisons Everything ', un ataque a Dios elaborado por el polémico escritor británico Christopher Hitchens. Por lo visto, los apóstatas y herejes están de moda. Un ataque incendiario a Dios elaborado por el polémico escritor británico Christopher Hitchens se ha convertido, contra todos los pronósticos, en la nueva sensación editorial en Estados Unidos. El libro God is Not Great: How Religion Poisons Everything, (algo así como Dios no es grande: Cómo la religión envenena todo, aún no tiene título en español) se está vendiendo como pan caliente en EE.UU., incluso en la parte central y sur del país, una región conocida como “el cinturón bíblico” por la importancia que tiene la religión. Su editorial, Twelve, una filial del grupo francés Lagardère SCA, imprimió inicialmente 40.000 copias. Pero apenas siete semanas después de su lanzamiento, había impreso casi 300.000 copias más. Un ejecutivo del sector editorial pronostica que Hitchens probablemente ganará más de US$1 millón con la obra. Foto: Christopher Hitchens.

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Sam Harris es entrevistado por Eduard Punset, para el programa Redes, en el episodio "Creer para ver", sobre religión, fe y creencias.

Veracidad y vida en la obra de Niettzsche, II

03.07.07, Antonio García Ninet, para FIdA. Segunda parte del artículo en torno a la veracidad como valor esencial en la obra de Nietzsche. La superación del nihilismo y el Eterno Retorno.

Spot USA contra los científicos Sam Harris y Richard Dawkins. Al fina, el vídeo advierte: "Si Dios no existe, todo está permitido".

James Randi expone la poca objetividad de los "institutos de parapsicologia".

la favola di cristo Luca Cascioli

Impression de la page
Le 4 juillet 2007 à 18h08

Créationnisme : le Conseil de l'Europe veut-il enterrer Darwin ?

Par Jean Etienne, Futura-Sciences

Guy Lengagne, ancien député français mais toujours membre du Conseil de l'Europe, enrage. Il affirme que la docte assemblée, qui selon Robert Schuman devrait être un "laboratoire d'idées", évolue mal, frappée d'une maladie invalidante qui frappe de plus en plus nos sociétés : le retour de l'irrationnel. Et pour cause, car son rapport, qui dénonce très intelligemment et avec courage les "dangers du créationnisme dans l'enseignement" a été refusé le 26 juin dernier (par 64 voix contre 46), et renvoyé en commission, c'est-à-dire en pratique dans les oubliettes.


Guy Lengagne

"Nous assistons aux prémices d’un retour au Moyen Age", affirme Guy Lengagne, qui se dit à la fois stupéfait, effrayé et choqué, de même que la commission qui a longuement travaillé sur ce rapport et qui n'hésite pas à parler de censure, donc d'une violation des libertés d’expression (et même de pensée), le plus primordial des droits de l’homme. Ce qui, dans une Assemblée qui multiplie les leçons sur la liberté et sur les périls risquant de menacer la santé, physique comme mentale, de nos sociétés, pose un sérieux problème.

Guy Lengagne ne voit cependant pas dans ce refus une volonté de l'Assemblée elle-même, mais plutôt le résultat de manœuvres concertées de ceux qui veulent par tous les moyens, autant religieux que sectaires, lutter contre la théorie scientifique de l'évolutionnisme et imposer les idées créationnistes qui relèvent de la croyance.


"The Origin of Species", édition originale de Charles Darwin

Le créationnisme

Le courant créationniste est essentiellement né aux Etats-Unis il y a une vingtaine d'années (du moins dans sa version moderne) lorsque des groupes d'inspiration religieuse ont entrepris de balayer l'argumentation scientifique issue des découvertes de Darwin pour expliquer l'histoire à la lumière exclusive des textes religieux et de la Genèse. Les plus durs d'entre eux affirment que le monde a été créé en six jours, et pas une seconde de plus ou de moins, tandis que d'autres acceptent un processus à plus long terme, mais toujours conduit par un "créateur". C'est l'intelligent design, dont les représentants se rencontrent aussi bien dans les milieux chrétiens que musulmans.

Mais aujourd'hui, ces thèses sans la moindre base scientifique se répandent progressivement en Europe, quelquefois en suivant des canaux pseudo-religieux.

C'est ainsi qu'en Pologne, le ministre de l'éducation Miroslaw Orzechowski (extrême-droite), qui avait déjà décidé de mettre à l'index des programmes scolaires certains auteurs comme Goethe, Kafka, Dostoïevski entre autres, a condamné publiquement le darwinisme à l'automne dernier, comparant la théorie scientifique à la trame d'un mauvais film de science-fiction.

En Italie, la ministre de l'éducation Letizia Moratti, sous le gouvernement Berlusconi, a déposé en 2004 une proposition de décret destiné à abolir l'enseignement de l'évolutionnisme dans le primaire et le secondaire. Mais grâce à une véritable mobilisation de scientifiques, c'est la proposition de décret qui a été finalement abolie… Et la ministre a remis sa démission.

Au Royaume-Uni, après l'approbation par Tony Blair en 2006 de l'enseignement créationniste dans certains établissements de la High Scholl et trois jours de rassemblements d'adeptes venus du monde entier, le plus important syndicat de professeurs du pays, le NUT (National Union of Teachers) a demandé que soit mise en place une barrière légale afin d'entraver la progression de ce que Guy Lengagne, mais il est loin d'être le seul, qualifie de "cancer mortel pour la pensée scientifique".

En Allemagne, des professeurs d'un lycée privé reconnu par l'Etat ont décidé d'enseigner que les différents types d'animaux sont l'œuvre directe d'un "créateur". Le tollé et les protestations des parents devant cette orientation qui se voulait antiscientifique n'ont réussi qu'à obtenir… l'approbation du gouvernement, sous le prétexte qu'aucune infraction aux programmes scolaires n'avait été constatée.

Atlas de la Création

Début 2007, un luxueux ouvrage apparemment scientifique, l'Atlas de la Création, était envoyé par la poste aux recteurs d'universités de France ou d'écoles supérieures, dont la plupart s'empressaient d'ailleurs de le mettre à la disposition des étudiants. On les comprend, car l'aspect de l'œuvre, dont le contenu et l'illustration évoquaient un contenu de très haut niveau, n'appelait aucune méfiance au premier abord. Mais une lecture plus attentive dévoilait les intentions de l'éditeur, un Turc nommé Harun Yahya, qui étaient de détruire la théorie évolutionniste de Darwin par de multiples exemples, notamment en démontrant, photos en couleurs à l'appui, que nos espèces contemporaines se rencontraient déjà abondamment dans les fossiles, et donc que l'évolution telle que décrite par les (vrais) chercheurs était fausse.


L'Atlas de la Création, recueil de pseudo-sciences.

Las, un examen plus approfondi dévoilait de nombreux trucages. Certaines photos de fossiles ainsi mises en corrélation n'avaient aucun rapport entre elles, quelquefois même appartenaient à des espèces différentes, dont certains caractères étaient habilement mis en valeur au détriment d'autres.

Très rapidement, le livre a été retiré des rayonnages (mais quelquefois conservés à l'intention des étudiants effectuant des recherches sur les sectes religieuses, selon nos sources), tandis que le ministre de l'Education Nationale Gilles de Robien adressait un avertissement déclarant que "ce livre est dangereux et ne correspond pas aux programmes scolaires". Quelques mois plus tard, le même ouvrage débarquait en Belgique et en Suisse, où sa diffusion était aussitôt interdite dans les établissements scolaires.

La Science recule-t-elle ?

Alors que le Président du Conseil de l'Europe, le sénateur belge Luc Van Den Brande connu pour son catholicisme ultra, déclarait ironiquement "Le Conseil de l'Europe n'est pas une Académie scientifique mais une organisation politique", Guy Lengagne ne tarissait pas de mots extrêmement durs envers cette décision qu'il assimile à une véritable censure et à une victoire décisive pour les créationnistes et néocréationnistes (l'"intelligent" design). "Nous avons eu affaire à de violentes oppositions de la part d'un parlementaire russe, soutenu par des Hongrois ; il assimilait l'évolutionnisme au stalinisme, au nazisme et au terrorisme !", assurait-t-il avec insistance en quittant la réunion dans le brouhaha général, clamant "J'ai honte de ce Conseil de l'Europe où j'ai passé dix ans de ma vie !".

Lors d'une conférence de presse organisée le même jour à la hâte, Guy Lengagne déclarait "La cible première des créationnistes contemporains, essentiellement d'obédience chrétienne ou musulmane, est l'enseignement. […/…] Nous sommes en présence d'une montée en puissance de modes de pensée qui, pour mieux imposer certains dogmes religieux, s'attaquent au coeur même des connaissances scientifiques", poursuit-il. Et de s'inquiéter de la montée en puissance des fondamentalistes religieux au travers du mouvement créationniste, qui selon le rapport original n'a rien à voir avec l'enseignement de base du fait religieux tel qu'il est pratiqué depuis des siècles, mais semble plutôt conçu pour fédérer entre elles les énergies d'extrémistes se prétendant d'inspiration divine, aussi bien catholiques qu'islamistes.

Le rapport devrait être à nouveau présenté en octobre, cette fois par la députée luxembourgeoise Anne Brasseur, qui ne manquera pas de se faire l'écho de l'inquiétude de son prédécesseur Guy Lengagne. Espérons que le Conseil de l'Europe sera alors sorti de sa torpeur.











video del fide

Frases ateas, video. Del blog ateología

The fall of religion?

THE LAST PRIEST

nlnews@archant.co.uk
11 July 2007
King's Head Theatre, Upper Street, N1

Jean Meslier, the Last Priest, was a French Catholic priest living in 17th century France. Meslier was a little-known hero of the enlightenment, living in the times of the French revolution.

Tom Cornford's production follows Jean as by day he conforms to the religious fundamentalism of the day, but by nights, in private, he passionately writes his legacy: a bitter text steeped in atheism. Meslier denies existence of the soul in this testament and calls religion "a castle in the air".

He is torn between the need to follow his conscience and his fear of discovery and being burnt alive.

Julian Bird is convincing as Meslier and takes on his persona. He portrays well the man torn between loyalty to his faith and his disbelief in the message he preaches every day.

But this play is really put together as a story of human nature, dealing with freedom, belief and rebellion. To some the priest may have appeared a coward, but yet he was brave enough to find love without God.

The dialogue is not always great, although the three actors perform well to take on five parts between them.

The subject of religious unrest is all around us today, and it is interesting to see a show striking a blow for secularism. However, you feel that the somewhat contrived plot means that the play never really gets to grips with its powerful topic.

An interesting idea which will no doubt attract controversy. - EMILY GOVAN

Si todos fuéramos ateos…

Sin duda, asistimos a un renacer de la intolerancia. La liberalización de la misa en latín y el último documento público de Benedictus PP, un remake del Dominus Iesus (2.000) que insiste en el mantenimiento del monopolio de Roma-Babilonia sobre el orbe cristiano, son etapas de afianzamiento de la deriva integrista vaticana. La primera, saludada con entusiasmo por los cismáticos de Fellay, ha levantado las quejas de colectivos judíos y de disidentes internos. En cuanto a la segunda, promete ser una readaptación del show de Ratisbona, esta vez teniendo como protagonistas a greco-ortodoxos, ruso-ortodoxos, bizantinos, anglicanos, mormones, metodistas, baptistas, antioqueños, armenios, luteranos, presbiterianos, uniatas, coptos, siríacos, evangélicos, valdenses y demás ramas de la familia cristícola. Es decir, a toda la oikoumene, junta y mezclada, subordinada por arte de edicto al monarca Ratzinger y a su sola Iglesia. La brisa de los Dolomitas le debe estar aproximando algo más que murmullos de desaprobación. El gran Papa está consolidando una estrategia de repliegue de fuerzas, con vistas a la cruzada evangelizadora que le ronda el pensamiento desde hace años: el retorno de un occidente feudal, vigilado, protegido y guiado por el soplo del Espíritu Santo, interpretado por los capos de la Santa Madre Iglesia y moralmente cautivo de sus códigos de conducta, basados en la obediencia, el temor y el dogma.

Al otro lado, la alucinación coránica sigue buscando el martirio y la muerte. Se interpreta el propósito de los rebeldes islámicos de la Mezquita Roja de Islamabad como un desafío suicida al Estado. Y lo cierto es que han demostrado que la militancia talibán pakistaní no se limita a unas cuantas zonas rurales fronterizas. Exigiendo la aplicación de la Sharía en la misma capital, multiplicando mártires y predicando sumisiones, los líderes islámicos abrazan también la idea de un oriente encadenado a la creencia, vigilado, protegido y guiado por el Santo Corán, interpretado por los jefes religiosos y moralmente cautivo de sus códigos de conducta, basados en la obediencia, el temor y el dogma.

No hay más dios que Allah. No más Iglesia que la católica. No más ética que la confesional. Ninguna opinión más que la autorizada.

El pulpo teológico aspira a la omnipotencia. Se organizan las guerrillas arzobispales contra el vídeo “blasfemo” de un equipo de fútbol, contra las reformas educativas, contra las peñas pamplonicas irreverentes. Ejércitos clericales atacan a los Estados laicos, exigen “participar libremente” en la política, rescatan rituales de exorcismo, se enfrentan a los científicos y a los tribunales, imponen sus ridículos criterios sexuales evocando sus inmutables principios, y levantan monumentos totémicos en honor a sus dioses. ¿Alguien duda aún de que la raíz de todo conflicto se nutre de pura irracionalidad? ¿Alguien de que los fundamentalismos aspiran a reducir la realidad a esquemas de civilización medievales?

Saramago lo ha expresado recientemente así: “Si todos fuéramos ateos, el mundo sería más pacífico”. La época de la sinrazón debería ser al fin superada, y la destrucción de las religiones un proyecto a realizar. “Dios” es un concepto excesivamente peligroso como para que ande suelto.

jeudi 26 juillet 2007



Clever interview from Richard Dawkins answering email questions from religious viewers responding to "The God Delusion".
Así habló José Saramago en Elogio de la Lectura junto a Laura Restrepo
(Se ha leido: 150 veces)
CulturalesEn el marco de 'Bogotá Capital Mundial del Libro', el Nobel escritor portugués habló junto a Laura Restrepo de cómo el libro puede llegar a convertirse en un instrumento de paz.

El pasado 9 de julio, José Saramago confirmó porqué es un intelectual que sigue, como siempre, independiente de las líneas de cualquier poder. Es un hombre de letras que no reconoce los extremos: sabe que todo es relativo y que nada es imprescindible ni obligatorio. Las contundentes frases que dijo ese día, todas controvertidas y sabias, se enmarcaron entre risas y reflexiones. Hicieron pasar al auditorio de la meditación al asombro, y de la aprobación a los aplausos, que finalmente simbolizaron el gran respeto que se le tiene por cada una de las páginas que ha escrito.

Aquí, un resumen de sus ideas, según el tema tocado por Laura Restrepo, la magistral conductora del conversatorio.

Influencia autobiográfica en la literatura: "La vida de cualquier ser humano es digna de ser pasada a la escritura... Todo el mundo debería escribir su propia biografía, así tendríamos 7 mil millones de libros, y podríamos llevarlos a la Luna para convertirla en la Gran Biblioteca Humana".

Las palabras: "Son lo mejor y lo peor que tenemos... Por las maravillas que se pueden expresar con la palabra, si se usan con armonía y profundidad; pero pueden llegar a ser violentas si se utilizan mal, si se les cambia el sentido".

La vida y la muerte: "Mi abuela, una mujer fuerte y trabajadora, dijo a sus 85 años, mientras miraba las estrellas en el pórtico de su casa: 'El mundo es tan bonito, y yo tengo tanta pena de morir'... Nadie puede vencer a la muerte, ella no tiene piedad con los seres humanos, ¿por qué habría de tenerla? Lo que pasa es que cuando la gente piensa en la muerte, no está pensando en la propia sino en la muerte de los demás. Hay quienes para describir la muerte en sus obras recargan la narrativa de terror, de sustos, y no hay nada de eso en la muerte... Entonces es cuando el humor se convierte en una pastilla tranquilizante que uno le ofrece al lector ".

La felicidad: "La felicidad es como una caricia: llega de vez en cuando, se va y en algún momento regresa; pero si estuviera ahí, eterna, se volvería una molestia. Creo que la palabra que mejor la define es armonía".

La religión: "Soy ateo, no creo en la existencia de un dios... Me parece aberrante creer en un dios. La religión nunca ha servido para acercar a los seres humanos... Fue creada para juzgar, para utilizar la fe a conveniencia propia. Ahí tenemos a los judíos y los palestinos; o los suníes y los chiítas. Por eso creo que la religión es muy mala, sin ella tendríamos un mundo más pacífico".

La dignidad: "Hemos escuchado tantas veces que lo último que se debe perder es la esperanza. Pero no: lo último que se debe perder es la dignidad".

La política: "Decimos que vivimos en una democracia, pero muchas de las instancias que rigen nuestras vidas no las hemos elegido nosotros, como el Fondo Monetario Internacional o el Banco Mundial. En el mundo actual se está hablando de democracia, pero no se está se construyendo una democracia. Cuando entregas tu voto en las urnas, estas delegando tu autoridad política a alguien que luego no te va a responder por ninguno de sus actos; creo que hoy en día vivimos, más bien, en una plutocracia -gobierno de los ricos-. El futuro de la humanidad en unos años será peor que el de hoy, porque no conocemos la verdad de lo que pasa en el mundo, existen unos medios de comunicación que ponen la mentira en el lugar más conveniente. La mejor herramienta que tenemos para cambiar al mundo son las ideas, pero en este momento no hay, no las veo".

El amor: "En mis novelas, la descripción fisiológica del acto sexual no contribuye en nada al conocimiento del amor entre dos personajes. En El Evangelio según Jesucristo, el amor entre Jesús y María Magdala se resume en el diálogo en el que ella le dice, pidiéndole que la deje ir a su lado a un viaje que hacía junto a sus discípulos: 'Mirare tu sombra, si no quieres que te mire a tí'. Y Jesús contesta: 'Quiero estar donde mi sombra esté, si es que allí están tus ojos'.

La coyuntura nacional: "Me impresiona la cantidad de secuestrados que hay en Colombia. También me impresiona la cantidad de años que lleva el conflicto interno: 50 años, dos generaciones de colombianos, y todavía nada cambia. Hay que sacar adelante el Acuerdo Humanitario; está claro que esto no tiene solución por la vía militar".